Les articles avec le mot-clés ‘Motivation’

N’ayez pas peur de faire une erreur. Mais faites en sorte de ne pas faire la même erreur deux fois.

N’ayez pas peur de faire une erreur. Mais faites en sorte de ne pas faire la même erreur deux fois

Akio Morita

Quelle considération avez-vous envers les erreurs ?

1/ Acceptez l’erreur:

L’erreur est une expérience. Et comme tout expérience, elle est porteuse d’enseignement.
Les erreurs sont le début du chemin de l’apprentissage et de la performance.

Ne les interdisez pas: tout progrès serait alors impossible !

Au contraire, expérimentez dans toutes les directions pour qu’elles surviennent au plus vite.
Ainsi l’erreur ne coûte pas cher, et la connaissance s’accroît rapidement.

2/ Refusez l’échec:

L’échec, c’est de reproduire les mêmes erreurs.
Ou c’est de ne rien tenter par peur de faire des erreurs.

3/ Et ne confondez les deux : erreur (marque de progrès) et échec (indicateur de stagnation).

Alors vous serez justes envers vous-même, et motivant pour les autres.

Une minute chaque jour pour être plus performant et serein !
#Management #CitationDuJour

Olivier Soudieux


Nos rêves ne tiennent plus dans vos urnes

Nos rêves ne tiennent plus dans vos urnes

Christophe Alévêque

Chaque jour, chacun de vos collaborateurs vote deux fois.
Il vote « je reste ou non dans cette entreprise ».
Il vote « je souhaite, ou non, donner à mon manager le meilleur de moi-même  »

Dès demain, il ou elle peut changer d’avis.
Puisque vous êtes parti prenante du programme que vous lui proposez, comporte-t-il une part de rêve suffisante ?

Une minute chaque jour pour être plus performant et serein !
#Management #CitationDuJour

Olivier Soudieux


Les valeurs : votre source d’énergie et de motivation intrinsèques

Alors que j’organisais une expédition consistant à traverser l’Himalaya à pied jusqu’à l’Everest, un nouvel aléa aurait pu tout remettre en cause.

Une année de préparation avait confirmé la possibilité de nous approvisionner en nourriture tout au long du périple. Or, à six mois du départ, un universitaire expert du grand Ouest népalais nous informa que, compte tenu du contexte de guerre civile, personne ne prendrait le risque de nous y vendre de la nourriture, par peur d’être rançonné par la guérilla Maoïste.

Pour la seconde fois, une information nouvelle venait de réduire à néant ce que nous tentions d’entreprendre. J’étais à devant la seule alternative à ce stade : abandonner le projet ou réinvestir à nouveau sans aucune garantie de résultat.

C’est dans ces difficultés que s’est crée une image mentale : je me voyais arrivée, hurlant ma joie devant l’Everest !

Pourquoi l’énergie de rebondir est-elle apparu ?

Ce projet c’était pour moi vivre une liberté exceptionnelle, se découvrir et rencontrer les peuple des pays de l’oxygène rare, me confronter à de nouveaux environnement, s’ouvrir et repousser des limites.

L’année suivante, après 5.000 km de marche, je contemplais l’Everest avec deux mois d’avance.

Dans l’adversité, les motivations de façades s’étiolent face aux incertitudes.

Ce qui fait aller au bout des ambitions, ce qui permet de déplacer des montagnes, c’est d’abord un projet porteurs de valeurs vraies, nobles et incarnées.

C’est aussi -et peut-être surtout- le lien entre valeurs du projet et nos valeurs propres.

Car leur alignement inscrit la vision jusque dans des images mentales. Des images qui source d’énergie et qui deviennent des guides.