Les articles de la catégorie ‘Performance’

Traverser naturellement les turbulences du monde: libérez enfin votre entreprise !

!!! Pour ceux qui ne l’aurait pas encore compris, les structures d’entreprise historiques sont totalement inadaptées a un monde de changement permanent, plein d’opportunité mais imprévisible !!!

Pardon du ton peut-être excessif de ce message, mais il existe des fonctionnements qui permettent à l’entreprise de s’adapter en temps réel de façon fluide à son environnement changeant et situations proches d’une crise.

Qui plus est, avec beaucoup plus de performance opérationnelle, une réduction phénoménale des risques, la capacité à bien capter et saisir les opportunités, et tout en prenant réellement soin des personnes.

Des fonctionnement actionnables pratiques, sensé, efficients.
Des canevas qui s’accordent, via leur déclinaison, un tout type d’entreprises. Y compris les grands groupes (qui a dit mammouth ?) du CAC 40.

Alors, qu’est-ce qu’on attend ?!

Bougeons-nous !

Le monde en a besoin.

Par souci de conjuguer d’économie et écologies.
Parce ce que l’entreprise est en tension.
Parce que « l’intention de l’humain » reste chassé par l’opérationnel court terme, à son détriment, et au détriment de la performance de l’entreprise elle-même…
… alors que des solutions opérationnelles existent !

Jetez un œil à des approches telles que la sociocratie, à l’holacratie, et surtout le plus complet et abouti : la Gouvernance Cellulaire.

Certaines approches, comme la Gouvernance Cellulaire sont en licence Creative Common.

C’est à la fois gratuit, en accès libre, avec de vraies réponses opérationnelles immédiates, qui permettent aux organisations traverser naturellement les turbulences du monde.

De quoi avez-vous besoin pour agir ?
Qu’attendez-vous ?

Si vous le voulez, envoyez-moi un message pour que j’organise un webinaire pour découvrir ces approches.

Agissez comme vous le voulez, mais agissez, svp !

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Si ce message fait écho chez vous, merci de le partager largement.
Agissons !

Accélérer la transformation (digitale…) des entreprises, agilité, performance et bien-être: Mes convictions profondes, Ce que je fais et Pour Quoi

Les leaders d’opinion s’appuyent sur la mission

Notre environnement était parfois simple, souvent compliqué.
Ce n’est désormais, ce plus le cas. Il est devenu complexe !

Dans un univers dont la seule constante est une accélération d’évolutions chaotiques, être un leader d’influence, ne peut plus reposer sur les paramètres opérationnels (ce qu’il faut faire et comment le faire).

S’appuyer sur les repères traditionnels n’est plus possible:

Les piliers de l’entreprise -organisations, produits ou procédures- ne sont plus que des états transitoires temporaires, qui se doivent de continuer d’évoluer en permanence pour répondre à un univers aussi changeant qu’imprévisible.

Indiquer le chemin s’avère délicat: il s’écrit en même temps qu’on le parcoure.

Bien sûr, la vision reste indispensable. Mais son expression s’avère insuffisante à faire s’engager chacun sans retenue face aux risques et craintes que l’incertitude génère. Et plus encore, à créer la cohésion et l’expérience plutôt que l’éclatement des liens et l’autoprotection dans les moments de tempêtes.

Provoquer l’engagement dans un monde incertain, se joue au delà de l’action elle-même, au niveau du sens ce de qui nous unis.

Pour inspirer, impacter, les leaders d’influence doivent d’autant plus se centrer la mission qui reste le seul repère stable, dans un monde d’imprévisibles.

Parce qu’ils savent que la compétence est nécessaire mais que dans les environnements complexes le sens prime sur la compétence, ils créent des communautés de valeur qui unissent au delà de l’action.

Il font émerger et vivre le « être ensemble » qui produit l’envie et la capacité des équipes à s’engager quels que soient les obstacles, en inventant le « comment faire ensemble » chaque jour.

Ils placent en plus haute priorité non pas les questions Quoi (ce qu’il faut faire), Comment (comment on va le faire), ni même Pourquoi (la cause), il placent au sommet de leur intérêt la question « Pour Quoi ? ».

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Le conférencier Olivier Soudieux à TEDx Pour s’en convaincre voir ma conférence au TEDx Alsace: où comment une expédition sans moyen réussit là où une expédition de personnes infiniment plus compétentes se solde par un fiasco humain !

Prospérer dans un monde incertain… Guide de survie !

Guide de survie pour avancer face à des objectifs toujours plus élevés
dans un environnement instable, et avec des moyens réduits.

En situation imprévisible ou instable, certains sombrent tandis que d’autres démultiplient leur taux de réussite. Pourquoi ?

Parce que les approches classiques atteignent leurs limites et que ce sont des compétences et stratégies spécifiques qui permettent d’être efficient dans les contextes exigeants à faible visibilité.

Alors que d’autres sont à la peine, celui qui sait créer des organisations, mettre en place des stratégies et cultiver des comportements A²GI²LEtm se singularise : il continue de progresser vers son objectif. Mieux : il transforme l’incertitude en un avantage concurrentiel.

Trois piliers forment le socle de la performance en environnement incertain :

1. La performance positive:
Optimiser à la fois l’excellence métier et un niveau de bien-être suffisant

La conjonction de l’excellence métier et un niveau de bien-être suffisant des hommes constituent le camp de base indispensable à toute ascension durable vers des sommets.

C’est la condition première, nécessaire à la formation d’équipes compétentes, mobilisées et volontaires pour avancer vers un même objectif. Particulièrement en terrain chahuté.

2. Une organisation, une stratégie et des comportements A²GI²LE:
Se jouer des obstacles pour atteindre dans un monde imprévisible

Mais, il va falloir progresser dans un espace multiforme, dont les repères s’évaporent en même temps qu’ils se dessinent.

Comment prendre les bonnes décisions malgré la visibilité limitée, les informations incomplètes et approximatives, la menace de dangers et la pression du temps ? Comment continuer d’avancer et rallier chaque camps d’altitude, dans un contexte de jalons économiques mouvants érigés sur un socle instable, en transformation permanente ?

Stratégie et comportements agiles, sont alors plus qu’essentiels : ils sont vitaux.

3. L’innov’action de rupture
Inventer de nouveaux concepts pour ouvrir de nouveaux possibles

Enfin, l’équipe à haut potentiel – suffisamment sereine pour la performance durable et agile pour se jouer des obstacles – atteint de hautes-altitudes auparavant inaccessibles.
Conséquences : elle fait face à des problèmes inédits.

Soumise à de nouvelles questions que les réponses d’hier ne parviennent plus à solutionner, elle doit retrouver de l’oxygène via l’innovation de rupture, traduite en action.


Comment prospérer dans un monde dont la seule constante est une accélération d’évolutions chaotiques ?

Lorsque les situations ou l’environnement deviennent complexes, incertains, imprévisibles ou qu’ils dépassent un certain seuil de difficulté, trop souvent, les capacités et compétences se diluent et s’amenuisent devant le manque de repère, sous l’effet du stress ou de la surprise.

Pourtant, il existe des savoirs, savoir-être, et savoir-faire pour être habile dans ces environnements.

A des degrés divers, ces compétences spécifiques sont présentes chez chacun. Mais ceux qui ont eu l’occasion de développer les états d’esprits et les stratégies les plus efficientes découvrent que l’incertitude, lorsqu’elle est partagée, peut ne plus être un frein, mais un démultiplicateur de performance face à la concurrence.

Ces capacités -qui se révèlent fondamentales dans l’adversité- sont rarement formalisées et enseignées. Il est pourtant possible de les acquérir et se les approprier.

La mise en œuvre de ces réponses est le moyen d’accéder à un niveau à la fois de performance et de sérénité inégalés. Elle procure l’habileté à se jouer des obstacles. Elle permet de continuer à s’élever vers les sommets même lorsqu’il faut sortir du cadre.

En un mot, elle est la clef pour avancer dans les environnements incertains et transformer l’expérience de l’incertitude en avantage concurrentiel.

Congrès National du CJD - Olivier Soudieux

Congrès National du CJD - Olivier Soudieux

Congrès National du CJD - Olivier Soudieux

Congrès National du CJD - Olivier Soudieux

Congrès National du CJD - Olivier Soudieux

Congrès National du CJD - Olivier Soudieux

Congrès National du CJD - Olivier Soudieux

Les trois piliers de l’efficience
en environnement incertain

La performance positive tm

La conjonction de l’excellence métier et un niveau de bien-être suffisant des hommes constituent le camp de base indispensable à toute ascension durable vers des sommets.

C’est la condition première, nécessaire à la formation d’équipes compétentes, mobilisées et volontaires pour avancer vers un même objectif. Particulièrement en terrain chahuté.

Une organisation, une stratégie et des comportements A²GI²LE tm

Mais, il va falloir progresser dans un espace multiforme, dont les repères s’évaporent en même temps qu’ils se dessinent.

Comment prendre les bonnes décisions malgré la visibilité limitée, les informations incomplètes et approximatives, la menace de dangers et la pression du temps ? Comment continuer d’avancer et rallier chaque camp d’altitude, dans un contexte de jalons économiques mouvants érigés sur un socle instable, en transformation permanente ?

Stratégie et comportements agiles, sont alors plus qu’essentiels : ils sont vitaux.

L’innov’action de rupture tm

Enfin, l’équipe à haut potentiel – suffisamment sereine pour la performance durable et agile pour traverser les obstacles – atteint de hautes altitudes auparavant inaccessibles. Conséquences : elle fait face à des problèmes inédits.

Soumise à de nouvelles questions que les réponses d’hier ne parviennent plus à solutionner, elle doit retrouver de l’oxygène via l’innovation de rupture, traduite en action.

En savoir plus: https://vialaventure.fr/expertise/

Sites de références:

Le conférencier : Olivier Soudieux https://vialaventure.fr

CJD: https://jeunesdirigeants.fr/


Maîtrise des risques : des expéditions extrêmes à l’entreprise au quotidien

Douze années comme chef de projet en SSII m’ont amené à gérer des équipes locales, d’autres distantes et multiculturelles, au sein de projets de conception ou de déploiements internationaux. Autant d’entreprises  qui n’auraient pu être menées avec succès sans une solide démarche de maîtrise des risques appliquée à ces actions en entreprise.

Les compétences en gestion de projet perfectionnées dans l’entreprise allaient bientôt être réinvesties à des fins personnelles. La passion pour la montagne et ses activités m’ont conduit à d’autres expérimentations, seul ou en équipe : ascensions à 6.000 ou 7.000m ou traversée de l’Himalaya à pieds durant un an.

Des aventures passionnantes qui ont mis en lumière de manière cruciale que les savoir-faire classiques issus de la sphère professionnelle touchent rapidement leurs  limites dans le contexte particulier des expéditions. La cause ? Des caractéristiques communes avec l’entreprise mais exacerbées à l’excès.

Si l’incertitude existe en entreprise, en expédition elle est le quotidien.

L’environnement évolue dans et autour de l’entreprise. En expédition, les métamorphoses aussi radicales qu’imprévisibles font partie de l’ordinaire.

En entreprise, certaines décisions sont stratégiques. En expédition, nombre d’entre-elles doivent être prises sur la base d’informations parcellaires et peu fiables, voire dont on sait que certaines sont fausses sans savoir lesquelles. Et elles engagent souvent la vie des hommes.

Autant d’éléments qui, à force de percuter les méthodes traditionnelles en entreprise, les rendaient inefficaces.

Pourtant, en expédition comme dans le monde des affaires, il est indispensable d’avancer toujours vers son but, de le faire au plus efficient, tout en conservant un niveau de sécurité suffisant.

Par nécessité de retrouver l’efficacité optimale lors de mes escapades en terres sauvages, les trois piliers qui forment le socle de l’efficience en environnement incertain se sont progressivement dessinés au fil des aventures.

La Performance Positivetm, qui permet d’optimiser à la fois l’excellence métier et de préserver un niveau de bien-être suffisant. Les comportements et fonctionnements A²GI²LEtm, afin de se jouer des obstacles en terrain instable, et d’atteindre son objectif, fût-il en mouvement. L’innovac’tion de rupture, enfin : sortir des cadres et créer de nouveaux concepts, laquelle permet d’obtenir bien plus de résultats, avec moins d’effort, et moins de contraintes.

64.000 auditeurs sont venus découvrir mes escapades et leurs enseignements en conférence. Des dizaines de formations ont été animées sur ces thèmes. Des entreprises et agences événementielles me sollicitent pour confronter les acteurs de l’entreprise aux réalités des environnements incertains, via des mises en situation.

Pourquoi un tel engouement ?

Parce que  l’exigence de garanties sur les résultats sans aucune certitude sur les moyens tend à se généraliser. Et parce que l’environnement des entreprises ressemble chaque jour un peu plus à celui des expéditions.

Or, un constat s’impose : en filigrane de la performance positivetm, du concept Agiletm, comme de l’innov’action de rupture, la double notion d’opportunité et de danger figure chaque fois en bonne place.

Aussi, dire que les concepts au cœur de la maîtrise des risques ont joué au quotidien un rôle essentiel dans la réussite des incursions au pays de l’oxygène rare n’est pas une exagération : c’est la simple reconnaissance d’un fait. En expédition, il ne suffit pas de progresser vers l’objectif : à chaque pas, il est indispensable de le faire en assurant un niveau de sécurité suffisant !

Dans un environnement professionnel de plus en plus caractérisé par l’incertitude et l’imprévu, la Maitrise des Risques n’est plus en plus un outil utile pour mener son projet au succès : elle est indispensable.

Elle rend plus sûr ce qui ne l’était pas. Elle aide à s’aventurer avec plus d’assurance dans l’incertitude des projets. Elle contribue à prendre les meilleures décisions. Elle permet de se jouer des obstacles.

Mieux : en fournissant une capacité supérieure aux tiers à adresser des opportunités sensibles, elle vous permet de disposer d’un avantage concurrentiel.


Innovation de rupture : l’exemple du kayak tracté par cerf-volant

Le kayak tracté par cerf-volant

Moins d’efforts, moins de contraintes,
et plus de résultats !

J’ai traversé l’Himalaya à pied durant un an avec un sac pesant entre 25 et 35 kg. Une expérience inoubliable, dont je tire les enseignements avec passion lors d’interventions en entreprise.

Une expérience qui a confirmé qu’il est vital pour moi de retrouver les grands espaces durant des expéditions d’envergure. Une expérience pleine de difficultés parfois aussi.

Pour les prochains projets, je garde les éléments qui ont fait le succès et le plaisir de cette aventure : comme dans mes activités de conférencier et formateur, il faut maximiser les bénéfices.

Mais ma prochaine expédition requiert une grande autonomie dans des espaces sauvages.
La plus grande autonomie possible, en fait.

Comment ne pas porter de lourdes charges, comme dans l’Himalaya ? Comment à la fois parcourir des distances plus immenses encore, tout en réduisant les efforts ?

Après un an de réflexion, la réponse s’appelle Achille.

Achille est mon kayak. Il possède des caissons ajoutés sur le pont pour permettre un transport maximal de marchandises. Achille est surtout un kayak… tiré par cerf-volant.

Il aura fallu de la patience, du savoir faire et de la créativité pour apprivoiser la matière insaisissable qu’est le vent, pour gérer le subtil équilibre entre cerf-volant et kayak, pour effectuer les décollages… assis sur l’eau.

Mais quels résultats ! Pagayer durant des heures pour parcourir 25 km par jour est toujours possible. Et dans 50% des cas le vent permet d’envisager sereinement 75 km par jour… en faisant la sieste ! (1)

Et vous, préférez-vous ramer, ou remplacer l’effort par de l’intelligence ?

Qu’est-ce qui, dans votre vie personnelle ou professionnelle, vous coûte le plus, vous contraint et vous demande beaucoup d’effort ? Quelle nouvelle façon de faire va, vous aussi, vous dégager de ce poids ?

Quels résultats voulez-vous atteindre, même si les moyens pour le faire n’existent pas encore ?

L’innovation de rupture est une réponse à ces questions.
Innover est  possible pour tous dès lors que sont choisis les bons acteurs et qu’est mise en œuvre une démarche adaptée.

Or toute démarche s’apprend. Moins d’efforts, moins de contraintes et  plus de résultats,  c’est possible pour tous !

(1) Le cerf-volant est autonome une fois dans les airs.


L’organisation A²GI²LE : Guide de survie dans les environnements incertains

En situation imprévisible ou instable, certains sombrent tandis que d’autres démultiplient leur taux de réussite. Pourquoi ?

Parce que les approches classiqutres atteignent leurs limites et que ce sont des compétences et stratégies spécifiques qui permettent d’être efficient dans les contextes exigeants à faible visibilité.

Alors que d’autres sont à la peine, celui qui sait créer des organisations, mettre en place des stratégies et cultiver des comportements A²GI²LEtm se singularise : il continue de progresser vers son objectif.

Mieux : il transforme l’incertitude en un avantage concurrentiel.

Votre avantage concurrentiel

Le potentiel des organisations et des équipes s’évalue en regard du contexte dans lequel elles évoluent.

Lorsque le seul élément constant est le changement, les organisations et hommes qui démontrent leurs capacités à mettre en œuvre les trois fondamentaux de la performance en environnement incertain disposent d’un avantage concurrentiel indéniable : ne plus subir la nouvelle donne environnementale de l’entreprise, mais pouvoir en tirer parti pour aller plus loin, mieux et plus vite que ses compétiteurs.

Ainsi, là où la reproduction des recettes d’hier, même optimisées au mieux, finit par mener dans des crevasses, une équipe A²GI²LE  va distancer ses concurrents par son aptitude à avancer malgré les écueils et la modification permanente de son théâtre d’opération.

Grille de lecture

L’équipe A²GI²LEtm se rapproche de son but par approximation constante : pour s’approcher et atteindre ses cibles malgré le manque d’information fiable.  A cette fin, elle privilégie la logique d’évaluation imparfaite et d’action rapide, qui prime sur qualité de l’information et précision.

A tout moment, elle s’adapte à son environnement, en ayant inclus l’adaptation comme une des activités constantes des processus de vente et de production (et plus comme une préoccupation ponctuelle de conduite du changement).

Elle progresse toujours au mieux dans le contexte immédiat en gérant sur la base de la flexi-priorité : une réelle (et classique) gestion des priorités, mais révisée à haute fréquence.

Elle sait faire appel à l’intelligence collective pour créer en équipe de nouvelles solutions applicables dans l’instant.

Elle sait demeurer lucide pour décider, prendre l’initiative ou passer la main.

Enfin, elle insuffle une culture du sens, source première et vitale de l’énergie : la motivation des hommes dans les contextes chahutés.

A²gi²letm :

  • Approximation et Adaptation constantes
  • Gestion : Flexi-priorité constantes
  • Innovation et Intelligence collective
  • Lucidité
  • Energie motrice

Bénéfices

En s’étant adaptée au mouvement permanent par des fonctionnements flexibles, réactifs et créatifs, votre organisation peut à nouveau progresser au mieux vers ses objectifs, quels que soient le terrain, les incertitudes et les perturbations.

A²GI²LEtm : trois questions permettant d’optimiser organisations et comportements

L’obstacle majeur du chemin à parcourir est de dépasser des cadres de fonctionnement parfois en place depuis des années.

Comment procéder ?

Utilisez A²GI²LE non seulement comme une grille de décryptage mais aussi comme un outil.

Examinez le fonctionnement à optimiser ou réexaminez votre problème à la lumière de la déclinaison des concepts qui composent A²GI²LE. En trois questions, vous obtiendrez, les actions concrètes, au retour sur investissement immédiat :

1. Approfondissez A²GI²LEtm :

Quelles sont les déclinaisons, dans l’absolu, de chacun des concepts de l’acronyme A²GI²LEtm ? (ex : adaptation constante implique : sens de l’observation, réactivité, …).

2. Identifiez les qualités à cultiver dans votre contexte :

Quelles sont les traductions en terme de compétences et bonnes pratiques à rechercher dans le cadre de votre problématique ?

3. Définissez les actions effectives requises :

Quelles actions immédiates permettent d’obtenir et intensifier ces qualités recherchées ?

Un questionnement essentiel à avoir, seul avec vos équipes ou accompagné d’un expert, pour transformer les obstacles en opportunité, dans un monde ou l’environnement de l’entreprise  s’apparente de plus en plus à celui des expéditions !


La carte des compétences

Mondes réels et représentations de ces mondes.

J’ai traversé l’Himalaya à pied durant un an, avec une carte. J’avais devant moi la montagne, l’immensité de l’Himalaya, et une carte.

La montagne, était la réalité du terrain, le monde véritable. Qu’est-ce que la carte ? C’est la représentation – abstraite- de cette réalité.

Nous avons de réelles compétences, savoirs, savoir-faire. Et tout comme la carte représente la montagne, nous avons tous une perception de nos capacités.

Ce périmètre, cette représentation mentale de nos compétences, c’est notre carte personnelle des compétences.

Utilité et limites des cartes.

En expédition, est-ce qu’une carte aide à s’orienter ? Lorsque je la pose, la réponse à cette question est presque toujours unanime : « Oui ! ».

En expédition, est-ce qu’une carte aide à s’orienter ? Ma réponse est « Cela dépend si elle est juste ! (1)»

Est-ce que notre carte des compétences nous aide à être performants ? Est-ce qu’elle nous aide à être sereins ?

Il en est de même.

La carte de compétences, n’est pas nos compétences, c’est la représentation que nous en avons.

Et cette perception délimite un certain périmètre au delà duquel nous pensons ne pas être en mesure de faire.

Prise de décision.

Or, avec quoi décide-t-on des choix pour s’orienter ?

Nous décidons surtout d’après les cartes, donc en fonction de nos représentations du monde, peu en fonction du monde lui-même.

D’où l’intérêt d’avoir deux cartes justes.

L’une pour bien nous orienter dans l’espace montagneux, l’autre pour orienter justement nos décisions.

Décalages entre carte des compétences et compétences réelles : les risques.

Si ma carte des compétences n’inventorie qu’une partie des aptitudes dont je dispose, j’agis à performance limitée.

Si je crois posséder des capacités que je n’ai pas, je vais m’aventurer sans contrôle sur des terrains dangereux pour moi et les activités dont j’ai la responsabilité.

Être performant et serein.

Pour être performant et serein, le premier enjeu est donc de disposer d’une carte des compétences dont l’exactitude procure la sécurité nécessaire pour savoir où l’on est et où l’on en est.

Le second enjeu est de ne pas confondre sécurité et confort excessif.

Il pourrait être tentant de se restreindre à l’espace des compétences que l’on sait totalement maîtrisées alors même que la précisions et la justesse de la carte des compétences procurent le moyen de s’aventurer au delà de son périmètre de compétences.

Une opportunité à ne manquer sous aucun prétexte, car cette mise en mouvement et la prise de risque associées ont pour effet de repousser des limites et donc d’accéder à de nouvelles performances.

A condition de savoir sortir des limites avec prudence, afin de ne pas agir inconsidérément et se soumettre à un danger excessivement non maîtrisé.

Une aptitude qui peut s’acquérir en ayant l’expérience… de son inexpérience, et se cultiver auprès des explorateurs de tous milieux.

(1) Carte, définition -au sens de la nôtre pour traverser l’Himalaya- : « Outil qui contribue (un peu) à aider à s’orienter, avec l’aide (fondamentale) du hasard ! »


Pour être performants… entourez-vous de martiens !

« L’entreprise protège, en le laissant tranquille, le « bon soldat », et se méfie de ceux qui ont trop d’idées.

La tendance est au clonage, au rejet des candidats atypiques ou indociles « . (1)

En période de crise, l’instinct porte souvent au repli : cette citation de février 2006 reste d’actualité.

Une crise est un changement profond par nature.

Si vous faites ce que vous avez toujours fait, vous obtiendrez ce que vous avez toujours obtenu.

Se recentrer sur les fondamentaux est une clef. Il faut en même temps s’entourer de personnes différentes, et mieux, de personnalités différentes.

C’est courir la chance de concevoir mieux que les autres les adaptations nécessaires et d’innover pour se repositionner idéalement dans le nouveau contexte.

Pour que les changements actuels de l’environnement économique soient pour vous une opportunité, entourez-vous aussi de personnalités atypiques. Quitte à ce qu’elles soient vues comme des martiens dans un premier temps !

(1) Lu dans Acteurs de l’économie – Rhone-Alpes. Fév. 2006.